Résumé :
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L’allogreffe de la face et des membres relève-t-elle d’une pratique expérimentale ou désormais d’une chirurgie de routine ? Ni l’une ni l’autre. Des acquis substantiels et codifiés, mais de lourdes difficultés médicales à surmonter et une expérience encore embryonnaire, laissent cette activité, pour l’heure, dans une phase de rite de passage.
Le débat éthique suscite de profonds clivages, le ratio coût-bénéfice n’est pas établi et des alternatives à ces greffes sont mises en perspective. Pourtant !
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