Résumé :
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Nous commençons notre vie dans le rythme : celui des pulsations physiologiques de notre mère, celui des bercements provoqués par ses mouvements et ses déplacements, celui des bruits issus de sa voix, du monde externe et des musiques de notre environnement. Tout cela constitue une sorte de ronronnement pour le fœtus, capable de percevoir les sons dès le quatrième mois de grossesse1 . Est-ce pour cela que la musique accompagne l’humain depuis la nuit des temps ? Recherche-t-il, à travers elle, à retrouver un bercement archaïque sécurisant ?
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