Titre : | Minimum vieillesse : un allocataire sur deux se perçoit en mauvaise santé (2018) |
Auteurs : | Jacques Pisarik, Auteur |
Type de document : | Article de revue |
Dans : | Etudes et résultats (n°1066, Juin 2018) |
Article en page(s) : | p.1-6 |
Langues: | Français |
Thème : |
[Thésaurus BDSP] Information sanitaire > Etat santé [Thésaurus BDSP] Protection sociale > Sécurité sociale > Assurance vieillesse > Prestation vieillesse > Avantage non contributif > Minimum vieillesse [Thésaurus BDSP] Protection sociale > Sécurité sociale > Bénéficiaire [Thesaurus Rockefeller] PERSONNE AGEE [Thesaurus Rockefeller] STATISTIQUES |
Résumé : | Cet état de santé dégradé concerne davantage les allocataires les plus pauvres, ainsi que ceux entrés avant 65 ans dans le dispositif, notamment en raison d’une situation de handicap, d’invalidité ou d’inaptitude au travail. 14 % des allocataires du minimum vieillesse déclarent avoir renoncé, pour raisons financières, à des consultations de médecin au cours de l’année et 31 % à des soins dentaires, contre respectivement 3 % et 16 % pour l’ensemble des personnes de 60 ans ou plus. Enfin, 16 % des allocataires ne sont ni couverts par une complémentaire santé – couverture maladie universelle complémentaire incluse – ni pris en charge à 100 % par la Sécurité sociale au titre d’une affection de longue durée. Or, ne pas avoir de couverture maladie conduit souvent au renoncement aux soins pour raisons financières. |
En ligne : | https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/er1066.pdf |