Résumé :
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En 1947, le Dr David Hume tentait la première transplantation rénale à Boston sur une femme en insuffisance rénale aigüe. Cette greffe avait permis à la patiente de reprendre une diurèse correcte. De nos jours, les greffes proviennent de donneurs décédés ou vivants. Leur nombre reste toutefois encore trop faible, d’où les multiples campagnes sur le don d’organes. En effet, en 2016, en France, selon les données de l’Agence de la biomédecine, 258 enfants et adolescents étaient inscrits sur liste d’attente. La greffe pédiatrique reste cependant très spécifique. Dans ce long chemin qu’est une greffe, depuis l’annonce du diagnostic de la maladie jusqu’au suivi post-transplantation du jeune patient, l’accompagnement psychologique est essentiel et concerne l’ensemble des protagonistes, que cela soit côtés donneurs ou receveurs.
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