Résumé :
|
En décembre 2014, un mouvement militant composé d’élus, de bénévoles d’associations de parents d’élèves et de lycéens dénonçait la présence d’une centaine de jeunes dans les rues parisiennes. Il s’agissait de jeunes mineurs, ou récemment majeurs, dont la minorité était contestée par la justice. Néanmoins, la Permanence d’accueil et d’orientation des mineurs isolés étrangers les avait pris en charge sur le plan de l’hébergement, le temps de la procédure. Puis l’adjie avait demandé qu’ils soient scolarisés, ce qui fut fait par le casnav , dans les classes d’accueil parisiennes.
|