Résumé :
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La nécessité de prendre en compte la réalité économique, sociale et politique nous oblige à la réflexion, à la réévaluation de nos moyens et peut-être aussi à une réadaptation posturale. Nous sommes en effet entrés dans le « dur » de l’après-crise, sur un arrière-fond idéologique qui n’a guère changé depuis près de trente ans, voire qui s’est durci, un rationalisme techniciste dominant dans un espace de libéralisation, de privatisation, de dérégulation et de mise en concurrence à l’infini
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