Résumé :
|
S’il est indéniable que le travail peut être source de souffrances, on oublie parfois un peu vite qu’il représente également un puissant facteur de protection ou, pour le dire encore autrement, un levier de changement extrêmement fécond. Quiconque œuvre de manière générale à l’amélioration, sous toutes ses formes, de la relation à soi, aux autres et au monde (et conséquemment à la qualité de vie), et non pas exclusivement à la seule question de la réinsertion des publics dits marginalisés, peut aisément en prendre la pleine mesure.
|