Résumé :
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n France, la littérature scientifique et professionnelle sur l’éducation et la formation des adultes souffre d’un déficit chronique de référence à des publications en langues étrangères, au premier rang desquelles, compte tenu de leur impact au plan international, les travaux en anglais. C’est l’une de nos multiples spécificités nationales : nos cousins chercheurs de l’espace francophone belges, suisses ou québécois sont, beaucoup plus que les Français, ouverts aux sources documentaires internationales, donc rédigées en anglais. Qu’on la déplore ou qu’on s’en félicite, la domination de l’anglais comme principale langue de communication scientifique dans la plupart des disciplines reste incontestable. Ce constat rend incontournable le recours aux résultats de recherches, d’expérimentations ou de théorisations formalisées dans cette langue en sciences de la formation
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