Titre : | Jean Oury, « Je suis poumiste » (2015) |
Auteurs : | Frank Drogoul |
Type de document : | Article de revue |
Dans : | Soins Psychiatrie (n°301, novembre-décembre 2015) |
Article en page(s) : | p.29-32 |
Langues: | Français |
Mots-clés: | aliénation ; pathoplastie |
Résumé : |
Si être poumiste c’est considérer que les hommes se désaliènent en révolutionnant le monde, être un psychiatre poumiste consiste à prendre en considération l’aliénation psychique et l’aliénation sociale.
D’où l’importance des comités hospitaliers et des clubs, pour redonner aux malades un statut de sujet et d’appréhender la question de la hiérarchie. Le soignant en psychiatrie doit avoir à l’esprit qu’une des dimensions essentielles de son travail est de « faire avec » les schizophrènes et qu’il doit s’engager dans les actes de la vie quotidienne. |
En ligne : | http://www.em-premium.com/article/1013839 |